J’ai fait une belle connerie. Une de celles qu’on aimerait pouvoir glisser sous le tapis au plus vite. C’était il y a 11 jours. Prise dans un tourbillon festif marquant la fin d’une année agitée et l’aboutissement d’un projet qui me tenait à cœur, j’ai ressenti le besoin impérieux de lâcher les chevaux. Habituée à ne jamais faire les choses à moitié, j’ai atteint des degrés qualifiés d’hallucinants. Certes, le contexte explique en partie mon comportement inadapté. Pour le reste, je n’ai aucune excuse. Je connaissais le cadre, j’ai composé avec les règles jusqu’à en perdre de vue l’objectif essentiel.
Je suis la seule à payer les conséquences de ce fâcheux événement. Heureusement. J’ai compris le code et ça me fera les pieds. Mieux que ça, je pense que cet événement se révèle positif pour moi, car très instructif. Ce qui m’amène à dresser un parallèle avec mon activité de formatrice d’adultes.
Je conçois des formations issues des courants pédagogiques humaniste et fonctionnaliste. À plusieurs reprises, j’ai vérifié l’utilité de bien définir le cadre d’intervention, tant pour les participants que pour moi-même. Il délimite le « terrain de jeu » dans lequel chacun pourra expérimenter la pertinence de ses connaissances, évaluer les compétences acquises, constater les changements réalisés.
Il y a 11 jours, le fait d’avoir été confrontée de manière pratique à la théorie m’a donné la possibilité de transformer une douloureuse leçon en un apprentissage durable. Vivement 2016 pour mettre ce dernier en application.
Sylvie Chevalier
Je suis la seule à payer les conséquences de ce fâcheux événement. Heureusement. J’ai compris le code et ça me fera les pieds. Mieux que ça, je pense que cet événement se révèle positif pour moi, car très instructif. Ce qui m’amène à dresser un parallèle avec mon activité de formatrice d’adultes.
Je conçois des formations issues des courants pédagogiques humaniste et fonctionnaliste. À plusieurs reprises, j’ai vérifié l’utilité de bien définir le cadre d’intervention, tant pour les participants que pour moi-même. Il délimite le « terrain de jeu » dans lequel chacun pourra expérimenter la pertinence de ses connaissances, évaluer les compétences acquises, constater les changements réalisés.
Il y a 11 jours, le fait d’avoir été confrontée de manière pratique à la théorie m’a donné la possibilité de transformer une douloureuse leçon en un apprentissage durable. Vivement 2016 pour mettre ce dernier en application.
Sylvie Chevalier